Αρχειοθήκη ιστολογίου

Αλέξανδρος Γ. Σφακιανάκης
ΩτοΡινοΛαρυγγολόγος
Αναπαύσεως 5
Άγιος Νικόλαος Κρήτη 72100
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6032607174

Σάββατο 3 Δεκεμβρίου 2016

Palinopsia from a posteriorly placed glioma - an insight into its possible causes

Amad Naseer Khan, Rakesh Sharma, Salema Khalid, David McKean, Richard Armstrong, Christopher Kennard<br />Feb 2, 2011; 2011:82010327-82010327<br />case-report

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Microvascular coupling devices: neglected resource with a short learning curve

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Publication date: Available online 3 December 2016
Source:British Journal of Oral and Maxillofacial Surgery
Author(s): W.R. Thompson, A. Burns, S. Endersby, M. Nugent
Microvascular couplers have a record of efficiency and efficacy. They have been used in anastomoses in the head and neck in Sunderland since November 2013, where we have investigated the time taken for anastomosis, patency, and cost. We also completed a national survey of the use of couplers in the United Kingdom, in which we recorded the time of anastomosis. The mean (range) time was 4minutes (2minutes 40seconds – 4minutes 10seconds). One flap partially failed. This shows that couplers can save time, they have successful outcomes, and the technique is quick and easy to learn.



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Abécédaire : qui suis-je ? Y’…

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): A. Werner, I. McGill, O. Laccourreye




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Les parenthèses nasales ou cantho-alaires : étude de la base d’implantation faciale du nez

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): G. Bonfort, D.T. Nguyen, C. Rumeau, R. Jankowski
ButsLa base d'implantation de la pyramide nasale osseuse sur le massif facial répond à l'orifice piriforme, dont la forme se projette sur la face en forme de parenthèses. Le but était de comparer l'écartement de ces parenthèses nasales avec leur visibilité subjective de face.Matériels et méthodesLe groupe « patients » provenait d'une cohorte rétrospective de photographies avant septo-rhinoplastie. Les photographies du groupe « modèles » étaient recueillies sur Internet ou magazines. Indépendamment de la détermination subjective du caractère marqué ou discret des parenthèses nasales, leur écartement était mesuré sur ordinateur en pixels et converti en millimètres par calibrage sur le diamètre irien. L'écartement des parenthèses était comparé statistiquement à leur présentation marquée/discrète, en fonction du genre et du groupe.RésultatsL'échantillon comportait 113 photographies : 46 patients (19 femmes, 27 hommes) et 67 modèles (43 femmes, 24 hommes). Les parenthèses apparaissaient marquées chez 67/113 (59,3 %). Les parenthèses marquées étaient plus fréquentes chez les hommes que chez les femmes (70,6 % vs 50,0 %, p=0,02), et chez les patients que chez les modèles (69,6 % vs 52,2 %, p=0,06). L'écartement des parenthèses marquées était significativement plus grand que celui des parenthèses discrètes (34,9±3,5mm vs 30,7±3,4mm, p<0,0001). L'écartement était plus grand chez les hommes comparativement aux femmes (35,2±4,1mm vs 31,5±3,1mm, p<0,0001), et chez les patients comparativement aux modèles (34,9±4,0mm vs 32,0±3,6mm, p<0,0001).ConclusionDes parenthèses nasales marquées reflétaient une implantation faciale plus large du nez.



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Métastases cervicales occultes de cancers thyroïdiens dans les curages cervicaux

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): S. Périé, F. Torti, M. Lefevre, N. Chabbert-Buffet, A. Jafari, J. Lacau St Guily
ObjectifsQuantifier et discuter la prévalence des métastases ganglionnaires occultes thyroïdiennes découvertes sur les pièces de curages ganglionnaires cervicaux réalisés pour un carcinome épidermoïde des voies aérodigestives supérieures (CE-VADS) et discuter les conséquences thérapeutiques.Type d'étudeÉtude rétrospective menée entre mai 2004 et janvier 2007.Lieu d'étudeCHU.MéthodesLes résultats histologiques des curages ganglionnaires cervicaux effectués au cours du traitement chirurgical d'un CE-VADS ont été analysés sur un total de 329 curages chez 266 patients opérés consécutivement.RésultatsVingt et un patients présentaient des métastases ganglionnaires d'un cancer thyroïdien (prévalence 7,9 %) : carcinome papillaire dans 13 cas et carcinome folliculaire dans 8 cas. Parmi ces 21 patients, 5 avaient eu, de principe, avec le curage classique, un curage récurrentiel avec lobectomie unilatérale ; aucun foyer tumoral thyroïdien n'y a été retrouvé. Treize patients ont bénéficié d'une radiothérapie dans le cadre de leur CE-VADS. Le suivi consistait à réaliser annuellement une échographie du cou et de la thyroïde chez les 21 patients. Dans 5 cas, une thyroïdectomie totale a été décidée, conduisant à retrouver chez un seul patient, trois microcarcinomes papillaires (traitement complémentaire par I131). Aucun carcinome thyroïdien n'a été retrouvé pour les 4 autres. Aucun décès lié au carcinome thyroïdien n'est survenu au cours de la période de suivi (moyenne de 41 mois).ConclusionLa prévalence des métastases ganglionnaires de carcinome thyroïdien retrouvée lors d'un curage cervical dans la prise en charge d'un CE-VADS apparaît plus élevée (7,9 %) que le taux rapporté dans la littérature (0,3 à 1,6 %). Cette différence peut être liée aux méthodes histopathologiques utilisées. La prise en charge doit être discutée en fonction des résultats de l'échographie thyroïdienne et du pronostic du CE-VADS.



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Série monocentrique rétrospective de quatorze patients atteints de mélanomes muqueux des fosses nasales et sinus paranasaux

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): J.-C. Letievant, M. Poupart, A. Ambrun, C. Colin, J.-C. Pignat
ObjectifsLes mélanomes muqueux des fosses nasales et des sinus paranasaux sont des tumeurs rares et extrêmement agressives. Nous présentons ici notre expérience sur 20ans de prise en charge.Patients et méthodesÉtude rétrospective de la prise en charge de 14 patients atteints de mélanomes muqueux primitifs des fosses nasales et des sinus paranasaux.RésultatsIl s'agissait de 8 hommes et 6 femmes. L'âge moyen au moment du diagnostic était de 67ans. Selon la classification des cancers des sinus de l'American Joint Committee on Cancer nous retrouvions : 14 % de T2, 22 % de T3, 75 % de T4a et 7 % de T4b. Tous les patients ont eu une prise en charge chirurgicale initiale. Au total, 71 % ont été traités par radiothérapie externe postopératoire. Le délai moyen de la récidive est de 28,7 mois. La survie globale à 2ans est de 43 % et de 32 % à 5ans. La durée moyenne de la surveillance est de 43 mois.ConclusionLes mélanomes muqueux des fosses nasales et des sinus paranasaux sont des entités très spécifiques. Notre connaissance physiopathologique encore insuffisante ne nous permet pas de les traiter de façon efficace à moyen et long termes. L'avenir thérapeutique reposera probablement sur des traitements globaux adjuvants ou néoadjuvants de type chimiothérapie ciblée.



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Malformations lymphatiques cervico-faciales et prise en charge thérapeutique : étude clinique à propos de 23 cas

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): J. Lerat, C. Mounayer, A. Scomparin, S. Orsel, J.-P. Bessede, K. Aubry
But de l'étudeLes malformations lymphatiques de la face et du cou sont des tumeurs bénignes rares, touchant principalement les enfants avant l'âge de un an. L'exérèse complète est souvent difficile et les récidives fréquentes. Les conséquences fonctionnelles et esthétiques sont un enjeu majeur.Matériels et méthodesÉtude rétrospective monocentrique portant sur les patients atteints de malformations lymphatiques cervico-faciales, du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2013, traités par chirurgie±associée à une sclérose à l'alcool absolu, la bléomycine ou l'aétoxisclérol. Le contrôle local, les récidives et les complications ont été analysés, tout comme les troubles de la déglutition, les trachéotomies et les résultats phonatoires.RésultatsLa cohorte comprenait 23 patients, d'âge moyen 15,80ans. Dix-sept patients (73,91 %) présentaient des localisations sus-hyoïdiennes et 6 patients (26,09 %) des localisations sous-hyoïdiennes. On retrouvait 11 macrokystes (47,82 %), 2 microkystes (8,70 %) et 10 lésions mixtes (43,48 %). Trois patients ont une résolution spontanée ; 12 patients (52,17 %) ont bénéficié d'une chirurgie seule, 2 patients (8,7 %) de chirurgies multiples, 2 patients (8,7 %) de chirurgies multiples et d'une sclérose, 2 patients (8,7 %) d'une chirurgie et de plusieurs scléroses et 2 patients (8,7 %) de chirurgies multiples et de scléroses multiples. Le contrôle local était de 69,56 %. Huit récidives (34,78 %) ont été constatées, toutes pour des lésions sus-hyoïdiennes, et microkystiques ou mixtes. Deux complications ont été observées (8,7 %), à savoir un œdème majeur cervical haut après sclérose d'une lésion de plancher buccal (n=1) et un déficit du rameau mentonnier après chirurgie (n=1). Une sonde naso-gastrique pendant six jours (4,35 %) a été nécessaire sans trachéotomie.ConclusionLes récidives restent fréquentes avec des conséquences fonctionnelles et esthétiques non négligeables notamment dans la région supra-hyoïdienne et pour les lésions microkystiques.



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Editorial Board

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6





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Intérêt de la gastroplastie dans le traitement des cancers pharyngo-œsophagiens avancés

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): Y. Marion, G. Lebreton, C. Brévart, T. Sarcher, A. Alves, E. Babin
ObjectifDans les cancers pharyngo-œsophagiens évolués, le choix des techniques de reconstructions après pharyngolaryngectomie totale circulaire (PLTc) demeure controversé. Nous avons étudié les résultats de la reconstruction des voies digestives par l'utilisation d'un transplant gastrique en reconstruction synchrone de la PLTc et en reconstruction secondaire à distance ou après échec d'une première tentative de reconstruction.Matériel et méthodesÉtude rétrospective réalisée entre décembre 1998 et janvier 2011, chez 24 patients atteints d'un carcinome pharyngo-œsophagien évolué traités par PLTc avec réhabilitation digestive par gastroplastie tubulisée.RésultatsLa survie à 2ans des patients était de 9 patients (37,5 %). La mortalité postopératoire à 30jours concernait un patient (4,1 %) mais 3 patients sont décédés dans les suites de l'intervention. La morbidité périopératoire concernait 13 patients (54,1 %) dont 9 fistules (37,5 %). La réalimentation était possible chez 17 patients (71 %).ConclusionLa gastroplastie tubulisée est une technique de reconstruction intéressante après PLTc avec envahissement de la bouche œsophagienne qui permet un confort alimentaire acceptable au prix d'une morbimortalité encore importante. La survie à distance reste modeste en partie liée au pronostic défavorable des tumeurs pharyngo-œsophagiennes avancées. Le taux élevé de fistule dans notre série doit faire discuter cette chirurgie pour reconstruction en deuxième intention après échec d'une première technique.



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Efficacité de la macrobiopsie échoguidée dans le diagnostic étiologique des lymphadénopathies cervicales

Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): K.H. Oh, J.S. Woo, J.G. Cho, S.K. Baek, K.Y. Jung, S.Y. Kwon
ObjectifLa ponction endoscopique à l'aiguille fine guidée échoguidée (US-FNA) est utile pour le diagnostic de lymphadénopathie cervicale. Toutefois, elle affiche un taux de faux négatifs élevé, en particulier chez les patients atteints de lymphome. Depuis peu, la macrobiopsie échoguidée (US-CNB) est de plus en plus utilisée pour le diagnostic des cancers mais sa valeur reste à déterminer. Cette étude évalue l'efficacité de l'US-CNB, réalisée dans un contexte ambulatoire, dans le diagnostic étiologique des lymphadénopathies cervicales.Matériels et méthodesCette étude rétrospective a inclus 79 sujets sans carcinome épidermoïde et sans antécédents de cancer entre janvier 2006 et juillet 2009. Une US-CNB a été réalisée sur des adénopathies cervicales de plus de 1cm chez tous les sujets. La sensibilité, la spécificité et la précision diagnostiques de l'US-CNB pour différencier une lymphadénopathie maligne d'une lymphadénopathie bénigne ont été évaluées. Tous les sujets recrutés ont subi une US-FNA programmée avant que l'étude US-CNB ne soit réalisée. Les résultats de l'US-CNB et de l'US-FNA ont été comparés.RésultatsLes diagnostics histopathologiques étaient corrects à partir de prélèvements obtenus par US-CNB chez 73 des 79 sujets (91,1 %). Les diagnostics les plus fréquents étaient l'hyperplasie réactive (26 sujets), la maladie de Kikuchi (17 sujets), la lymphadénite tuberculeuse (15 sujets), le lymphome (8 sujets) et le cancer métastatique (3 sujets). L'US-CNB était très efficace pour différencier les lymphadénopathies malignes des lymphadénopathies bénignes, avec une sensibilité, une spécificité et une précision diagnostiques de respectivement 91,6 %, 100 %, et 98,6 %. En outre, l'US-CNB était plus précise que l'US-FNA pour identifier le lymphome (88,8 % vs 11,1 %) et la maladie de Kikuchi (89,4 % vs 29,4 %). Aucune complication liée à l'US-CNB n'a été observée.ConclusionL'US-CNB est une technique sûre et efficace qui présente un rendement diagnostique élevé pour les lymphadénopathies cervicales. L'US-CNB peut également être utile pour diagnostiquer le lymphome et la maladie de Kikuchi.



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Développement de la chirurgie minimale invasive dans la prise en charge des cancers naso-sinusiens

Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): A. Moya-Plana, D. Bresson, S. Temam, F. Kolb, F. Janot, P. Herman
Les cancers naso-sinusiens sont des tumeurs rares et hétérogènes sur le plan histologique. Leur prise en charge est complexe du fait de leur agressivité et de leur proximité avec des structures anatomiques critiques (orbite, base du crâne…). La diversité des types histologiques associée à leur faible incidence rend difficile l'inclusion de ces tumeurs dans des études prospectives. La réalisation de référentiels thérapeutiques consensuels est donc complexe. Le traitement chirurgical de référence de ces cancers est la voie trans-faciale et la résection cranio-faciale en cas d'extension basicrânienne. Cette chirurgie est cependant associée à une morbidité périopératoire importante. Ces vingt dernières années, la chirurgie endoscopique des sinus a connu des progrès majeurs aboutissant à l'extension de ses indications. Ainsi, initialement chirurgie fonctionnelle sinusienne, cette technique permet aujourd'hui le traitement de pathologies bénignes basicrâniennes (fuite de LCR, méningocèles…) et plus récemment celui de tumeurs malignes naso-sinusiennes. L'analyse de la littérature met en évidence une diminution significative des complications postopératoires et une amélioration de la qualité de vie de ces patients. Les résultats oncologiques rapportés sont en faveur d'une sécurité carcinologique de la chirurgie endoscopique des cancers naso-sinusiens qui doit être, cependant, réservée à des opérateurs expérimentés. Des études complémentaires comportant un suivi à plus long terme et une stratification selon l'histologie sont nécessaires.



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Conséquences audiovestibulaires de l’infection congénitale à cytomégalovirus

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): N. Teissier, S. Bernard, S. Quesnel, T. Van Den Abbeele
L'infection congénitale par le cytomégalovirus (CMV) est la première cause de retard mental et de surdité neurosensorielle après les causes génétiques. Depuis quelques années, les études autopsiques pédiatriques et fœtopathologiques ont permis de progresser dans la compréhension des phénomènes physiopathologiques aboutissant aux différentes séquelles neurosensorielles. Depuis l'identification de certains facteurs pronostiques de surdité, des protocoles thérapeutiques reposant sur l'administration de molécules antivirales sont proposés aux populations cibles. Ce traitement a démontré son efficacité dans le ralentissement de la dégradation de l'audition et semble permettre, dans certains cas, une récupération partielle du seuil auditif chez les nourrissons présentant une infection symptomatique par le CMV. Cependant, les modalités optimales de durée de traitement et d'administration ne sont pas encore clairement définies. Cet article reprend les principales données récentes sur les séquelles audiovestibulaires et leur prise en charge chez les enfants infectés congénitalement par le CMV.



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Fibroodontosarcome améloblastique de la mandibule chez l’enfant

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): S.-J. Chen, X.-W. Zheng, X. Lin, H. Liu
IntroductionLe fibroodontosarcome améloblastique est un sous-type de sarcome odontogène extrêmement rare, 13 cas seulement étant rapportés dans la littérature.Cas cliniqueUn garçon de 4ans s'est présenté avec une tuméfaction mandibulaire indolore, évoluant depuis 4 mois. L'imagerie cone-beam a révélé une vaste radioclarté multiloculaire et mal limitée de la mandibule droite s'étendant de la première molaire primaire au ramus, associée à des opacités légèrement denses. L'examen histologique de la biopsie a révélé une tumeur biphasique avec mésenchyme sarcomateux et composant épithélial améloblastique bénin compatible avec un diagnostic de fibrosarcome améloblastique. Une résection de l'hémi-mandibule droite a été réalisée. Des zones de dépôts de dentine et d'émail à proximité immédiate de l'épithélium améloblastique ont été observées dans la pièce opératoire. Un diagnostic final de fibroodontosarcome améloblastique a été posé. Après quatre ans de suivi rapproché, aucun signe de récidive ou de métastase n'est observé.ConclusionBien que rare, le fibroodontosarcome améloblastique doit être évoqué dans le diagnostic différentiel des lésions maxillo-mandibulaires avec radioclartés aux contours mal limités et contenant un matériau radio-opaque. Le diagnostic définitif dépend de l'examen histopathologique. Une exérèse chirurgicale complète est le traitement de prédilection.



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Méningites récidivantes révélant une méningocèle transalaire : à propos de deux cas, discussion diagnostique et thérapeutique

Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): A. Zoghlami, N. Bon Mardion, F. Callonnec, D. Dehesdin, F. Proust, J.-P. Marie
IntroductionLes méningo-encéphalocèles de la base du crâne sont des malformations congénitales rares. Les cas que nous rapportons sont différents du type trans-sphénoïdal classique. Il s'agit de malformations transalaires trans-sphénoïdales.Présentation des casPour le cas 1, il s'agit d'un enfant de 3ans et demi et dans le second cas, un homme de 36ans. La symptomatologie clinique est celle de méningites à répétition dans les 2 cas. Pour le cas 1, la prise en charge chirurgicale s'est faite par voie intradurale sous-temporale. Une reprise a été nécessaire 2ans après. Pour le second cas rapporté, le traitement chirurgical s'est initialement fait par voie endonasale, puis secondairement par voie ptéryonotemporale. La reprise par voie transpétreuse de Sekhar a également été un échec. Seul le comblement par voie rétrosigmoïde de l'angle pontotrijuminé a permis une fermeture de la brèche.DiscussionL'abord de la fosse ptérygopalatine est complexe par sa position anatomique et ses rapports avec des éléments vasculonerveux. Les voies endoscopiques semblent être une alternative intéressante aux voies externes classiques. Selon nos résultats, l'option thérapeutique ayant permis une fermeture durable de la brèche méningée a été son comblement par voie neurochirurgicale.



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Une cause rare de dysphagie, le liposarcome rétropharyngé

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): O. Vella, A. Bequignon, F. Comoz, E. Babin
IntroductionLe liposarcome est une tumeur maligne rare d'origine mésenchymateuse. Très peu de cas, d'origine rétropharyngée, ont été décrits dans la littérature.RésuméUne femme de 30ans, sans antécédent, présentait des troubles de la déglutition depuis un an associés à une dysphonie. L'examen au nasofibroscope permettait d'objectiver un processus tumoral aux dépens de la paroi pharyngée latérale gauche, remontant jusqu'à la région des trois replis et comblant le sinus piriforme homolatéral avec une mobilité cordale conservée. Le reste de l'examen physique était normal. Une IRM cervicale avec injection de gadolinium complétait le bilan préopératoire. Un traitement chirurgical par voie externe était réalisé. L'analyse anatomopathologique définitive concluait à un liposarcome dédifférencié avec des limites d'exérèse saines. Après un bilan d'extension par tomodensitométrie thoracique ne retrouvant pas de lésion métastatique, un traitement adjuvant par arcthérapie modulée volumétrique était décidé en réunion de concertation pluridisciplinaire. Aucune récidive n'était objectivée à neuf mois post-traitement.DiscussionLe liposarcome rétropharyngé est rare. Nous rapportons le premier cas de sous-type histologique dédifférencié dans cette localisation. Une revue de la littérature complète cette observation avec une description des facteurs pronostics et des différentes thérapeutiques.



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Comment réaliser des PEA chez le jeune enfant

Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): I. Rouillon, M. Parodi, F. Denoyelle, N. Loundon
Le diagnostic de surdité, notamment dans le cadre du dépistage, repose entre autres sur les potentiels évoqués auditifs du tronc cérébral (PEATC). Il s'agit, selon la nomenclature de la classification commune des actes médicaux (CCAM), de l'enregistrement des potentiels évoqués auditifs précoces pour la recherche de seuils, l'étude des temps de conduction et la mesure des amplitudes (correspondant aux codes CDQP006 si réalisés sans anesthésie générale, et CDQP014 avec anesthésie générale). La réalisation et l'interprétation de ces tests doivent être rigoureuses, toujours associées à un examen ORL complet et à une audiométrie comportementale dès qu'elle est possible. Afin d'obtenir des tracés de bonne qualité, les PEA doivent être réalisés sous sieste chez le jeune enfant afin qu'il soit parfaitement immobile. Plusieurs protocoles peuvent être utilisés en fonction de l'âge de l'enfant afin d'obtenir un sommeil de bonne qualité. Les PEA participent au diagnostic auditif précis pour qu'une prise en charge précoce adaptée intervienne dès les premiers mois de vie.



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Comment réduire les dysphonies parkinsoniennes par thyroplastie

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): B. Roubeau, M. Bruel, O. de Crouy Chanel, S. Périé
L'hypophonie joue un rôle important sur la qualité de la communication orale des patients parkinsoniens en majorant les effets de la dysarthrie associée. Lorsque cette hypophonie est liée à un défaut d'adduction des cordes vocales, constituant ainsi une « incompétence laryngée », une médialisation d'une corde vocale peut être proposée en cas d'échec de la prise en charge rééducative. Des techniques d'analyses acoustique et aérodynamique de la voix et de la parole, d'évaluation perceptive et d'estimation du handicap vocal, associées à une fibroscopie laryngée ont été réalisées pour discuter de l'indication de médialisation laryngée dans ces incompétences laryngées. Une médialisation d'une corde vocale par thyroplastie (implant de Montgomery), sous anesthésie locale et neuroanalgésie, a été réalisée chez deux patients parkinsoniens avec une dysphonie réfractaire à la rééducation. Après l'intervention, une réévaluation des différents paramètres a montré un enrichissement du timbre via l'accroissement du nombre d'harmoniques et une amélioration des paramètres aérodynamiques. La médialisation d'une corde vocale, en réduisant l'hypophonie par une meilleure adduction glottique, a amélioré efficacement la voix et le confort de communication orale de ces deux patients. La technique de médialisation par thyroplastie, sous anesthésie locale, permet un contrôle peropératoire de la voix mais aussi le retrait potentiel de l'implant.



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Acouphènes pulsatiles et masse osseuse temporale

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): D.T. Ginat, M.B. Gluth




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Une surdité brusque lytique

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): A. Diallo, M. Gratacap, S. Tringali




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Une paralysie faciale périphérique

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): A. Villeneuve, C. Aussedat, D. Bakhos




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Kyste tératoïde de la langue : variante rare de kyste dermoïde

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): N. Tazi, R. Mahdoufi, I. Barhmi, M. Mahtar




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Fistule congénitale du philtrum révélant un kyste épidermoïde : cas inhabituel

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Publication date: December 2016
Source:Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, Volume 133, Issue 6
Author(s): N. Tazi, I. Barhmi, M. Roubal, M. Mahtar




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Ovarian metastasis from uveal melanoma with MLH1/PMS2 protein loss in a patient with germline MLH1 mutated Lynch syndrome: consequence or coincidence?

Abstract

Currently, uveal melanoma is not considered within the Lynch syndrome tumor spectrum. However, there are studies suggesting a contribution of microsatellite instability in sporadic uveal melanoma tumorigenesis. We report a 45-year-old woman who was referred for genetic counseling due to a family history of Lynch syndrome caused by a MLH1 mutation. She originally underwent enucleation of the right eye secondary to a uveal spindle cell melanoma diagnosed at age 25. The tumor recurred 22 years later presenting as an ovarian metastasis and concurrently a microscopic endometrial endometrioid carcinoma, grade 1/3 was diagnosed. Subsequent studies highlighted that the uveal melanoma showed high microsatellite instability and loss of MLH1 and PMS2 protein expression, with no MLH1 promoter methylation or BRAF mutation. Additionally, a GNAQ mutation was found. We conclude that our patient's uveal melanoma is most likely related to MLH1 germline mutation and thus Lynch syndrome related. To the best of our knowledge, this is the first report of uveal melanoma showing MLH1/PMS2 protein loss in the context of Lynch syndrome.



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Assessing the value of mepolizumab for severe eosinophilic asthma: a cost-effectiveness analysis

Adding mepolizumab to standard treatment with inhaled corticosteroids and controller medications could decrease asthma exacerbations and use of long-term oral steroids in patients with severe disease and increased eosinophils; however, mepolizumab is costly and its cost effectiveness is unknown.

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Orbital fracture repair outcomes with preformed titanium mesh implants and comparison to porous polyethylene coated titanium sheets

Restoration of orbital volume after internal orbital fractures can prevent enophthalmos. A variety of allografts are commonly used including titanium mesh with and without porous polyethylene coating. Some controversy exists over the use of uncoated titanium mesh in the orbit. Newer products contoured to the three dimensional orbital anatomy aim to improve reestablishment of the complex orbital shape though studies of outcomes with their use are limited.

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Variation in the site of the lateral femoral cutaneous nerve during harvest of a deep circumflex iliac artery free flap

We describe an interesting anatomical variant of the lateral femoral cutaneous nerve that we recently encountered during harvest of a deep circumflex iliac artery (DCIA) free flap from a 64-year-old man. We performed a left hemimaxillectomy to resect a T2N0M0 squamous cell carcinoma of his left maxillary alveolus, and successfully reconstructed the defect. As we raised the flap, we noted an anatomical variant of the site of the lateral femoral cutaneous nerve, which meant that we had to transect it to maintain the continuity of the vascular pedicle.

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Medication-related osteonecrosis of the jaw associated with aflibercept

Antiangiogenic drugs are effective in the treatment of gastrointestinal tumours, renal cell carcinoma and metastatic colorectal cancer.1 Angiogenesis is a validated therapeutic target where there are macroscopic metastases.2

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Factors associated with blood transfusion during intracranial aneurysm surgery

The purpose of this study was to identify risk factors associated with intraoperative blood transfusions in patients presenting for intracranial aneurysm surgery in the current era of more restrictive transfusion guidelines.

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Preoperative telephone consultation does not decrease patient anxiety before Mohs micrographic surgery

Many factors influence anxiety and satisfaction of patients undergoing Mohs micrographic surgery (MMS).

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Aspergillus march: from ABPA to aspergilloma to subacute invasive aspergillosis

Aspergillus is a ubiquitous fungus responsible for allergic as well as saprophytic and invasive manifestations depending on host's immune status. The following case report demonstrates...

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Bilateral anomalous drainage of the posterior divisions of renal veins into the azygos venous system in a 20-year-old woman: a case report

Renal vein anomalies are relatively infrequent and generally asymptomatic. Preoperative knowledge of such variants is, however, of paramount importance in several angiographic and surgical procedures including...

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Follicular thyroid carcinoma presenting as solitary liver metastasis: a case report

Distant metastasis from differentiated thyroid carcinoma at presentation is rare and isolated liver metastasis on presentation is almost unknown. We report a case of primary follicular carcinoma of the thyroid...

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Fetal malformation in maternal toxoplasma and rubella co-infection in Cameroon: a case report

There has been a recent increase in the number of newborns with brain malformations due to congenital infections, but the impact of these diseases remains largely under ascertained in middle-income and low-inc...

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Possible failure of novel direct-acting oral anticoagulants in management of pulmonary embolism: a case report

The relative effectiveness of vitamin K antagonists compared with novel oral anticoagulants in treating pulmonary embolism remains unclear. Recent trials comparing the efficacy of vitamin K antagonists with fa...

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Osteoid osteoma of the acetabulum successfully treated with computed tomography-guided resection and ablation using a standard electrosurgical generator: a case report

Osteoid osteoma accounts for approximately 10% of all benign bone tumors. The most common sites of osteoid osteoma are the subcortical shaft and metaphyses of long bones, but any other skeletal bone site can b...

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Frequency and Morbidity of Temporomandibular Joint Involvement in Adult Patients with a History of Juvenile Idiopathic Arthritis

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Publication date: Available online 2 December 2016
Source:Journal of Oral and Maxillofacial Surgery
Author(s): Cory M. Resnick, Rushil Dang, Lauren A. Henderson, David A. Zander, Kimberly M. Daniels, Peter A. Nigrovic, Leonard B. Kaban
PurposeThe majority of patients with juvenile idiopathic arthritis (JIA) have temporomandibular joint (TMJs) involvement, but little is known about the natural history of TMJ disease as these children enter adulthood. The purpose of this study is to evaluate adults with a history of JIA to document the frequency and severity of TMJ abnormalities and morbidity. We hypothesize that a majority will have persistent TMJ disease as adults.MethodsThis is a cross-sectional study including adults (>19 years-of-age) with JIA who were managed at Boston Children's Hospital (BCH) as children and at Brigham and Women's Hospital (BWH) as adults. History of a TMJ problem was not considered in enrollment. Subjects completed a questionnaire, physical examination and maxillofacial cone-beam computed tomography scan (CBCT). Additional data were obtained from medical records. Associations between TMJ abnormalities on CBCT and arthritis history, TMJ pain and function, facial asymmetry, malocclusion and cephalometric analysis were examined.ResultsOf 129 eligible patients contacted, 21 subjects (42 TMJs) were enrolled. The mean age was 26.0±6.1 years and mean duration of care for JIA at BCH/BWH was 13.7±6.5 years. TMJ pain was present in 62% (n=13) of patients; 43% (n=9) had a TMJ functional limitation and 76% (n=16) had a lower facial asymmetry. Abnormalities were found in the TMJs on 55% of CBCTs, with 79% demonstrating bilateral deformities. There was at least one cephalometric measurement of mandibular size or position that was more than one standard deviation beyond normal in 81% (n=17) of subjects. Only 4 subjects (19%) had previously been evaluated for a TMJ problem.ConclusionTMJ abnormalities and related morbidity are common in adult patients with a history of JIA. Therefore, an early screening protocol for TMJ involvement in children with a new diagnosis of JIA would be beneficial and long-term follow-up into adulthood should be routine.



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Histone deacetylase inhibitors deplete myeloid-derived suppressor cells induced by 4T1 mammary tumors in vivo and in vitro

Abstract

Myeloid-derived suppressor cells (MDSC) have been identified as a population of immature myeloid cells that suppress anti-tumor immunity. MDSC are increased in tumor-bearing hosts; thus, depletion of MDSC may enhance anti-tumor immunity. Histone deacetylase inhibitors (HDACi) are chemical agents that are primarily used against hematologic malignancies. The ability of these agents to modulate anticancer immunity has recently been extensively studied. However, the effect of HDACi on MDSC has remained largely unexplored. In the present study, we provide the first demonstration that HDACi treatment decreases MDSC accumulation in the spleen, blood and tumor bed but increases the proportion of T cells (particularly the frequency of IFN-γ- or perforin-producing CD8+ T cells) in BALB/C mice with 4T1 mammary tumors. In addition, HDACi exposure of bone marrow (BM) cells significantly eliminated the MDSC population induced by GM-CSF or the tumor burden in vitro, which was further demonstrated as functionally important to relieve the inhibitory effect of MDSC-enriched BM cells on T cell proliferation. Mechanistically, HDACi increased the apoptosis of Gr-1+ cells (almost MDSC) compared with that of Gr-1 cells, which was abrogated by the ROS scavenger N-acetylcysteine, suggesting that the HDACi-induced increase in MDSC apoptosis due to increased intracellular ROS might partially account for the observed depletion of MDSC. These findings suggest that the elimination of MDSC using an HDACi may contribute to the overall anti-tumor properties of these agents, highlighting a novel property of HDACi as potent MDSC-targeting agents, which may be used to enhance the efficacy of immunotherapeutic regimens.



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Prognostic significance of the lymphocyte-to-monocyte ratio and the tumor-infiltrating lymphocyte to tumor-associated macrophage ratio in patients with stage T3N0M0 esophageal squamous cell carcinoma

Abstract

Purpose

We assessed the prognostic significance of, and the relationship between, the pretreatment lymphocyte-to-monocyte ratio (LMR) and the TILs/tumor-associated macrophages (TAMs) ratio, in patients with esophageal squamous cell carcinoma (ESCC) of pathological stage T3N0M0 (pT3N0M0).

Methods

A total of 220 newly diagnosed ESCC patients of stage pT3N0M0 who had not undergone neoadjuvant therapy were included. Densities of CD8+ TILs, CD4+ TILs, CD45RO+ TILs, and CD68+ TAMs were assessed by immunohistochemical staining of tissue microarray cores from all 220 pT3N0M0 ESCC patients (who underwent radical resection). Hematological biomarkers including lymphocyte and monocyte counts were obtained from routine preoperative blood test data, and the LMR and TILs/TAMs ratios calculated. Cutoff finder for survival prediction was plotted to find out the optimal cutoff point for each parameter.

Results

The LMR and TILs/TAMs ratios were interrelated. On univariate analyses of data from the entire cohort, the LMR, CD45RO/CD68 ratio, and CD8/CD68 ratio were significantly associated with both OS and disease-free survival. Only the CD45RO/CD68 ratio was independently prognostic of survival on multivariate analysis.

Conclusions

The prognostic significance of the CD45RO/CD68 ratio was higher than that of the LMR. The CD45RO/CD68 ratio is a useful independent prognostic marker in patients with pT3N0M0 ESCC who have undergone complete resection without neoadjuvant therapy.



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The role of HPV on the risk of second primary neoplasia in patients with oropharyngeal carcinoma

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Publication date: January 2017
Source:Oral Oncology, Volume 64
Author(s): María Martel, Laia Alemany, Miren Taberna, Marisa Mena, Sara Tous, Silvia Bagué, Xavier Castellsagué, Miquel Quer, Xavier León
ObjectivesIt has been reported that patients with HPV-positive oropharyngeal cancer (OPC) have a lower risk of appearance of second primary neoplasm (SPN) than HPV-negative OPC patients. The aim of our study was to analyze the risk of developing SPN in a large group of patients with OPC according to HPV status in the primary tumor.Materials and methodsWe included 412 OPC patients treated at our center from 1991 to 2014 for which the HPV DNA positivity was evaluated by PCR in available tumor specimens. HPV DNA positive samples were further tested for HPV E6∗I mRNA detection and/or p16INK4a immunohistochemistry. We estimated the incidence of SPN in all cancer sites and in cancer sites related to tobacco and alcohol consumption according to the HPV status in the primary tumor.ResultsFifty-one (12.4%) out of 412 OPCs included in the study were HPV-related. Five-year SPN-free survival for HPV-negative versus HPV-positive OPC patients was 57.0% and 89.0% (P<0.001), respectively. Corresponding estimates for 10-year SPN-free survival were 35.2% versus 78.5% (P<0.001). When restricting the analyses to tobacco/alcohol-related SPNs, the corresponding survival rates where 62.0% versus 97.6% (P<0.001) and 42.2% versus 97.6%, (P<0.001), for 5-year and 10-year survival rates, respectively. HPV status and previous toxic habits might allow classifying patients regarding the risk of tobacco/alcohol-related SPNs.ConclusionHPV-related OPC patients have a significant lower risk of SPN development, particularly in those locations related to tobacco use or alcohol consumption.



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The prevalence and risk factors associated with osteoradionecrosis of the jaw in oral and oropharyngeal cancer patients treated with intensity-modulated radiation therapy (IMRT): The Memorial Sloan Kettering Cancer Center experience

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Publication date: January 2017
Source:Oral Oncology, Volume 64
Author(s): Adepitan A. Owosho, C. Jillian Tsai, Ryan S. Lee, Haley Freymiller, Arvin Kadempour, Spyridon Varthis, Adi Z. Sax, Evan B. Rosen, SaeHee K. Yom, Joseph Randazzo, Esther Drill, Elyn Riedel, Snehal Patel, Nancy Y. Lee, Joseph M. Huryn, Cherry L. Estilo
ObjectiveTo determine the prevalence and correlation of various risk factors [radiation dose, periodontal status, alcohol and smoking] to the development of osteoradionecrosis (ORN).Patients and methodsThe records of 1023 patients treated with IMRT for oral cavity cancer (OCC) and oropharyngeal cancer (OPC) between 2004 and 2013 were retrospectively reviewed to identify patients who developed ORN. Fisher exact tests were used to analyze patient characteristics between ORN patients with OCC and OPC. Paired Wilcoxon tests were used to compare the dose volumes to the ORN and contralateral non-ORN sites. To evaluate an association between ORN and risk factors, a case-control comparison was performed. One to 2 ORN-free patients were selected to match each ORN patient by gender, tumor site and size. General estimation equations models were used to compare the risk factors in ORN cases and matched controls.Results44 (4.3%) patients developed ORN during a median follow-up time of 52.5months. In 82% of patients, ORN occurred spontaneously. Patients with OPC are prone to develop ORN earlier compared to patients with OCC (P=0.03). OPC patients received a higher Dmax compared to OCC patients (P=0.01). In the matched case-control analysis the significant risk factors on univariate analysis were poor periodontal status, history of alcohol use and radiation dose (P=0.03, 0.002 and 0.009, respectively) and on multivariate analysis were alcohol use and radiation dose (P=0.004 and 0.026, respectively).ConclusionIn our study, higher radiation dose, poor periodontal status and alcohol use are significantly related to the risk of developing ORN.



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A PPAR gamma agonist protects against oral mucositis induced by irradiation in a murine model

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Publication date: January 2017
Source:Oral Oncology, Volume 64
Author(s): Monica Mangoni, Mariangela Sottili, Chiara Gerini, Isacco Desideri, Cinzia Bastida, Stefania Pallotta, Francesca Castiglione, Pierluigi Bonomo, Icro Meattini, Daniela Greto, Emanuela Olmetto, Francesca Terziani, Carlotta Becherini, Camilla Delli Paoli, Laura Trombetta, Mauro Loi, Giampaolo Biti, Lorenzo Livi
BackgroundDue to its anti-inflammatory, antifibrotic and antineoplastic properties, the PPAR gamma agonist rosiglitazone is of interest in prevention and therapy of radiation-induced toxicities. We aimed to evaluate the radioprotective effect of rosiglitazone in a mouse model of radiation-induced oral mucositis.Material and methodsOral mucositis was obtained by irradiation of the oral region of C57BL/6J mice, pretreated or not with rosiglitazone. Mucositis was assessed by macroscopic scoring, histology and molecular analysis. Tumor xenograft was obtained by s.c. injection of Hep-2 cells in CD1 mice. Tumor volume was measured twice a week to evaluate effect of rosiglitazone alone and combined with radiotherapy.ResultsIrradiated mice showed typical features of oral mucositis, such as oedema and reddening, reaching the peak of damage after 12–15days. Rosiglitazone markedly reduced visible signs of mucositis and significantly reduced the peak. Histological analysis showed the presence of an inflammatory cell infiltrate after irradiation; the association with rosiglitazone noticeably reduced infiltration. Rosiglitazone significantly inhibited radiation-induced tnfα, Il-6 and Il-1β gene expression. Rosiglitazone controlled the increase of TGF-β and NF-kB p65 subunit proteins induced by irradiation, and enhanced the expression of catalase. Irradiation and rosiglitazone significantly reduced tumor volume as compared to control. Rosiglitazone did not protect tumor from the therapeutic effect of radiation.ConclusionRosiglitazone exerted a protective action on normal tissues in radiation-induced mucositis. Moreover, it showed antineoplastic properties on head-neck carcinoma xenograft model and selective protection of normal tissues. Thus, PPAR gamma agonists should be further investigated as radioprotective agents in head and neck cancer.



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Adherence to the World Cancer Research Fund/American Institute for Cancer Research recommendations and head and neck cancers risk

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Publication date: January 2017
Source:Oral Oncology, Volume 64
Author(s): Francesca Bravi, Jerry Polesel, Werner Garavello, Diego Serraino, Eva Negri, Gianni Franchin, Carlo La Vecchia, Cristina Bosetti
ObjectivesThe World Cancer Research Fund (WCRF) and the American Institute for Cancer Research (AICR) have proposed eight recommendations for cancer prevention, related to body fatness, diet, and physical activity. Our aim is to evaluate the role of adherence to these recommendations on head and neck cancers risk.Materials and methodsWe obtained an overall score including seven of the WCRF/AICR recommendations, and examined its relationship with head and neck cancers risk in two Italian case-control studies including 946 patients with oral cavity and pharyngeal (OCP) cancer and 2492 controls, and 689 patients with laryngeal cancer and 1605 controls.ResultsHigher adherence to WCRF/AICR recommendations was associated to a reduced risk of OCP cancer (odds ratio, OR=0.45, 95% confidence interval, CI: 0.33–0.62 for a score of 4–<5, and OR=0.32, 95% CI: 0.22–0.49 for a score of ⩾5 as compared to <3). The ORs for laryngeal cancer were 0.68 (95% CI: 0.50–0.92) for a score of 3–<4, 0.39 (95% CI: 0.28–0.55) for a score of 4–<5, and 0.24 (95% CI: 0.15–0.38) for a score of ⩾5.ConclusionOur study indicates that high adherence to the WCRF/AICR recommendations for cancer prevention is associated with a substantially decreased risk of head and neck cancers.



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FcεRI cross-linking reduces cord blood dendritic cell responsiveness to lipopolysaccharides

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Publication date: Available online 2 December 2016
Source:Journal of Allergy and Clinical Immunology
Author(s): Sara Paveglio, Erin Bennett, Kelly L. Hawley, Adam P. Matson

Teaser

Anti-FcεRI stimulation was found to reduce the responsiveness of cord blood mDCs to lipopolysaccharides, thus supporting the growing body of evidence that DCs can play a regulatory role in the setting of IgE-mediated inflammation.


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CASH – Computer-assistierte Chirurgie im Kopf-Hals-Bereich. Teil 2



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Analysis of the factors affecting outcome after combat-related cranial defect reconstruction

Publication date: Available online 1 December 2016
Source:Journal of Cranio-Maxillofacial Surgery
Author(s): Goran Pavlićević, Milan Lepić, Predrag Perić, Dražen Ivetić, Ana Roganović, Zoran Roganović
IntroductionReports on the outcomes of cranioplasty after combat-related injuries are relatively rare in the current literature. We present our results on the reconstruction of cranial defects resulting from injuries sustained in combat, comparing outcomes using autologous (iliac bone) grafts or (acrylate) allografts, and analysis of other factors that may influence the final outcome.Material and MethodsThe study comprised 207 patients with cranial defects resulting from combat-related injuries, repaired with autografts or allografts. The final outcome was defined at least 5 years postoperatively on the basis of cosmetic restoration and the existence of complications as successful (acceptable cosmetic restoration + absence of complications) or unsuccessful (poor cosmetic restoration or acceptable cosmetic restoration + complications).ResultsSuccessful outcomes were achieved in 83.6% of patients; there was no operative mortality. There were 25 instances of complications: postoperative infection (n=15, allograft (7/53), autograft (8/154)), autograft resorption (n=8), and in two cases, graft luxation. Poor cosmetic restoration was noted in 9 (4.3%) patients who had received an autograft.ConclusionsThin and poorly vascularized skin, a surface area of the defect larger than 88 cm2, previous local infection and communication with paranasal cavities significantly influenced outcomes after combat-related cranioplasty, the final three being independent predictors of an unsuccessful outcome.



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Liver steatosis in pre-transplant liver biopsies can be quantified rapidly and accurately by nuclear magnetic resonance analysis

Abstract

Donor livers marginally acceptable or acceptable according to extended criteria are more frequently transplanted due to the growing discrepancy between demand and availability of donor organs. One type of marginally acceptable graft is a steatotic donor liver, because it is more sensitive to ischemia-reperfusion injury. Thus, quantitative assessment of steatosis is crucial prior to liver transplantation. Extent of steatosis of 49 pre-reperfusion liver biopsies from patients who received orthotopic liver transplantation was assessed by three techniques: semi-quantitative histological evaluation, computerized histomorphometry, and NMR-based estimation of fat content. The findings were correlated to clinical data and to histological examination of corresponding post-reperfusion biopsies for quantification of ischemia-reperfusion injury. We found that values obtained through all three assessment methods were positively correlated. None of the values obtained by the three applied methods correlated with clinical outcome or extent of ischemia-reperfusion injury. Quantitative evaluation of steatosis by NMR yields results comparable to histological and morphometrical assessment. This technique is rapid (<5 min), accurately quantifies fat in donor livers, and provides results that can be used when evaluation by a pathologist is not available.



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Successful treatment of multiple in-transit melanomas on the leg with intensity-modulated radiotherapy and immune checkpoint inhibitors: Report of two cases

Abstract

Because the efficacy rates of monotherapy with immune checkpoint inhibitors such as nivolumab or ipilimumab are not sufficient, to enhance the antitumor effects of these reagents is of great interest among dermato-oncologists. In this report, we describe two cases of multiple in-transit metastatic melanomas on the leg successfully treated with intensity-modulated radiotherapy (IMRT) using a CyberKnife in combination with ipilimumab or nivolumab. Our cases suggested that IMRT could enhance the antitumor effects of immune checkpoint inhibitors in patients with multiple in-transit melanomas.



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Non-paraneoplastic autoimmune subepidermal bullous disease associated with fatal bronchiolitis obliterans

Abstract

Bronchiolitis obliterans is a small-airway obstructive lung disease for which immunologically mediated pathogenesis is supposed. Frequent association of bronchiolitis obliterans with paraneoplastic pemphigus is well known, but its association with other autoimmune bullous diseases has not been reported except for a case of anti-laminin-332-type mucous membrane pemphigoid in a patient with chronic graft-versus-host disease. We report a case of non-paraneoplastic autoimmune subepidermal bullous disease associated with fatal bronchiolitis obliterans in a patient without transplantation. Although the patient's serum contained immunoglobulin (Ig)A antibodies to the 180-kDa bullous pemphigoid antigen/type XVII collagen and IgG antibodies to laminin-332, diagnosis of either linear IgA bullous dermatosis or mucous membrane pemphigoid could not be made because of the failure to detect linear IgA deposition at the basement membrane zone by direct immunofluorescence and the lack of mucous membrane lesions. Physicians should be aware that autoimmune bullous diseases other than paraneoplastic pemphigus can also associate with this rare but potentially fatal lung disease.



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Diagnostic usefulness of dermoscopy in differentiating lichen aureus from nummular eczema

Abstract

Lichen aureus (LA) is a variant of pigmented purpuric dermatosis that is characterized clinically by rust macules, papules or plaques, mainly on the legs. In some cases, LA can be difficult to be distinguished from nummular eczema (NE) with the naked eye. Dermoscopy can be applied to skin lesions, revealing additional features that can be highly valuable for correct diagnosis. This study was conducted to investigate characteristic dermoscopic findings of LA and to identify distinctive features that can differentiate it from NE. Fourteen LA patients and 14 NE patients diagnosed by skin biopsy were enrolled. Skin lesions were evaluated via polarized dermoscopy. On dermoscopy, "coppery orange diffuse coloration of background", "round to oval red globules", "gray dots", and "networks of brownish to gray interconnected lines" were more commonly seen in LA (100%, 92.9%, 42.9% and 64.3%, respectively) compared with NE. "Scales", "shiny yellow clods" and "irregularly distributed brownish-red globules" were more commonly seen in NE (100%, 85.7% and 57.1%, respectively) compared with LA. Dermoscopy provides valuable information for diagnosis of LA and aids in differentiating it from NE.



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Pyodermatitis vegetans with antibodies to bullous pemphigoid antigen 180



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